Ouééééééé mythique ce que je ressens pour lui n'est pas réciproque :) :) :) !!!!!!
Je
suis forte, je suis solide, je suis forte, je suis solide, je suis
forte, je suis solide, je suis forte, je suis solide, je suis forte,
je suis solide, je suis forte, je suis solide, je suis forte, je suis
solide, je suis forte, je suis solide, je suis forte, je suis solide,
je suis forte, je suis solide, je suis forte...
Bon, ok,
j'arrête.
Et je me mets à couiner comme une
malheureuse.
Vous aimeriez bien, hein...
Et ben NON.
Parce
que JE SUIS FORTE ET SOLIDE.
Je me sens bizarre.
C'est mieux
comme ça.
Je suis une connasse de rêveuse débile
qui croit que tout peut arriver.
Mais c'est tellement mieux quand
les choses sont au clair, bien posées par terre, bien à
plat. Moi j'ai envie de m'y vautrer, par terre, et de hurler mon
hoooooooooooorrible douleur.
Pourtant je n'ai rien appris que
j'ignorais. Juste que je devais arrêter de tirer des plans sur
la comète.
Quand je rêve, je préfère
avoir un peu d'espoir, et là, ben je suis pas capable de me
mentir autant qu'il faudrait pour réussir encore à
croire ça vrai quand je m'endors en imaginant que je suis dans
ses bras.
Et comme je suis aussi une connasse de réaliste, je ne parviens pas à déterminer si ce qui me fait le plus de mal est de savoir qu'il ne ressent vraiment rien pour moi, ou de savoir que je ne pourrais plus jamais profiter de ce qu'il a entre les jambes. Chier.
Putain. Je me fais pitié.
'Savez, moi, je veux juste quelqu'un pour me prendre dans ses bras de temps en temps.
Et
j'en viens à me demander si je saurais me faire aimer, un
jour.
Ce qui me gène, c'est d'avoir passé tant de
temps à critiquer les gens qui sont malheureux parce qu'en
manque d'amour...
Je
m'invente ma douleur.
Ben oui, puisqu'elle est conséquence
des choses que je me suis inventées.